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Quels transports pour nos envies d’ailleurs ?

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Les transports touristiques pèsent lourd dans l'empreinte carbone du tourisme. Il existe pourtant des alternatives à l'avion et à la voiture. A la clé : moins de pollutions et plus d'économies. Place au rail et à la mobilité active !

10 mai 2021

Durée de lecture : 2 minutes

Pour voyager, vive le train

Par personne et par kilomètre, le train pollue 8 fois moins que la voiture et 14 fois moins que l’avion (et le TGV 3 fois moins qu’un train classique).

On peut l’utiliser pour voyager en France comme à l’étranger. Le voyage prendra certes plus de temps qu’en avion mais c’est l’occasion de voir du pays, et pourquoi pas de faire quelques escales où bon nous semble. Pas besoin de forcément traverser les océans pour vivre de belles expériences.

Pour comparer l'impact CO2 des différents modes de transport, utilisez notre simulateur.

Tuto - Vive les vacances

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Des vacances sans voiture, c’est possible !

Un réseau ferroviaire dense, une offre de plus en plus conséquente d’autocars longue distance… Pour des vacances en France et même en Europe, on peut facilement se passer de voiture, y compris une fois sur place. Les offices de tourisme sont là pour vous renseigner.

Certaines régions touristiques favorisent tout particulièrement l’utilisation de modes actifs (marche, vélo…) et de solutions « sans voiture ». La Bretagne a ainsi développé une offre de séjours « sans voiture », avec des services complémentaires pour palier à l’absence de véhicule personnel (kit bébé, pass mobilité, kit frigo plein…).

Et, pour les plus sportifs, le cyclotourisme est en plein boom ! La France est d’ailleurs d’une des premières destinations mondiales pour le tourisme à vélo.

Et si on doit absolument prendre l’avion ?

Autant l’utiliser le moins possible sachant qu’un aller-retour Paris/New York pour une personne émet autant de gaz à effet de serre qu’un an de chauffage d’un petit appartement.

On peut toutefois amortir l’impact carbone d’un vol en optant pour le plus long séjour possible, en évitant les escales (le décollage est très émissif en gaz à effet de serre) et en voyageant léger.

Autre solution, même si elle n’annulera pas les émissions : recourir à un dispositif de compensation carbone via les compagnies aériennes ou des organismes comme GoodPlanet.

Pour aller plus loin

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